Commençons par reconnaître que la comptabilisation du carbone est extrêmement complexe et que l’évaluation des puits de carbone est encore une pratique en évolution !
Nos estimations actuelles sont basées sur des moyennes issues d’une sélection d’études menées sur les écosystèmes de mangroves dans les régions équatoriales, notamment en Asie du Sud-Est et en Afrique, ainsi que sur les écosystèmes acadiens de l’Est du Canada.
Lors de l’estimation du taux de séquestration du carbone, nous prenons en compte les variables suivantes :
Espèces plantées (y compris l’âge de maturité des arbres)
Type de forêt
Région
Taux moyen de survie des arbres
Sur la base de ces paramètres, la séquestration du carbone est d'abord calculée à l'échelle de l'hectare, en incluant :
Le carbone aérien (feuilles, biomasse végétale, souches, etc.)
Le carbone souterrain (racines, débris, etc.)
Le carbone du sol (le carbone fixé dans le sol)
Les estimations de séquestration sont ensuite quantifiées à l’échelle de l’arbre individuel, en fonction des densités de plantation prévues.
Lorsqu'aucune donnée primaire n’est disponible, veritree adopte une approche prudente, en utilisant un ensemble de données secondaires, de données de substitution ou d’hypothèses conservatrices pour éviter de surestimer le taux de séquestration du carbone de nos projets. De plus, nous utilisons les données collectées directement sur site pour valider ou ajuster nos estimations, et nous continuerons d’améliorer notre méthode en collaborant avec des chercheurs académiques spécialisés dans ce domaine.
Bien que nous nous appuyions sur des publications académiques crédibles pour affiner nos estimations de séquestration du carbone, nous reconnaissons que notre méthodologie actuelle comporte des limites et des incertitudes. C’est pourquoi nous nous engageons à continuer d'améliorer nos méthodes d'estimation en renforçant nos partenariats avec le milieu universitaire.
🌱 Tous les arbres plantés par Green Nation le sont en partenariat avec Veritree.