Si une catastrophe naturelle venait à se produire, dans cette catégorie d'évènement, l'état a la possibilité de les classer en catastrophes naturelles ce qui permet d'avoir accès à un remboursement pour de la remise en état.
Pour rappel, l'investissement sur la Plateforme est uniquement dans le foncier et non dans la société d'exploitation agricole, ce qui permet également de limiter le risque. L'investissement n'est pas directement lié à la performance de l'exploitation. En effet, le loyer n'est pas lié au chiffre d'affaires.
Comment est pris en compte le risque de réchauffement climatique ?
Dans le processus d'acquisition des parcelles, un état des risques est effectué : inondations, déformation des sols, pollution au radon... Nous veillons à sélectionner uniquement des parcelles qui présentent des niveaux de risques faibles.
Sur la question de l'eau, nous proposons uniquement des investissements dans des cultures dont la consommation en eau est limitée. Afin de s'assurer d'avoir le volume nécessaire à la culture envisagée, nous engageons des servitudes avec des accès à l'eau ou nous nous assurons que l'agriculteur ait bien les droits de pompages.
Plus généralement, les investissements sont réalisés dans des régions où la culture financée a déjà fait ses preuves d'un point de vue climatique. Et, nous finançons uniquement des agriculteurs soucieux de bien faire qui augmentent la résilience des parcelles en prônant une agriculture durable qui régénère les sols.
Un exemple concret : sur un projet de pommiers BIO que nous finançons, le verger comporte plusieurs espèces de pommes sur une même parcelle pour favoriser la pollinisation et la résilience des récoltes. Le verger est planté en hautes tiges, ce qui permet au vaches de pâturer en dessous et ainsi d'entretenir l'herbe et régénérer les sols. Des parcelles gérées avec une telle vision sont plus à même de perdurer dans le temps face aux aléas climatiques.
- Investir comporte des risques -