Les évolutions législatives en matière d’échanges de factures imposent
de plus en plus de rigueur dans la présentation, et notamment en
matière de présence des mentions légales.
Ceci réduit chaque jour un peu plus la part des factures manuscrites
versus celles éditées par un logiciel de facturation qui intègre
naturellement ces mentions.
La part estimée à ce jour est de l’ordre de 2,5 %.

La reconnaissance de l’écriture manuscrite existe et est bien sur
disponible dans la palette des technologies ITESOFT à notre disposition.
Nous savons par exemple reconnaître l‘écriture manuscrite libre (dite
cursive) pour analyser le contenu de courriers manuscrits (mots-clés)
et ainsi les aiguiller vers les bonnes personnes. Par exemple une lettre
de motivation reçue serait identifiée comme telle et adressée au service
RH, un courrier client indiquant un changement d’adresse serait aiguillé
vers le service client.
Yooz a fait le choix de ne pas intégrer la technologie de reconnaissance
de l’écriture manuscrite car elle est complexe et très consommatrice
de ressources, pour reconnaître, au final, une part très marginale de
factures qui a vocation à continuer à diminuer.
Yooz a privilégié la fluidité et la performance de l’application, à l’ajout
d’une technologie, en réalité, peu demandée par nos clients.

Nous préconisons de traiter toutes les factures dans la chaîne, manuscrites et imprimées, automatiser tout ou partie de la reconnaissance des données, et bénéficier d’un processus et d’un archivage homogènes pour 100% des factures. C’est cette approche qu’ont choisie tous nos clients. 

Vous constaterez, à l’utilisation, que beaucoup de factures manuscrites utilisent un papier à entête ou un tampon qui permettent d’ores et déjà de récupérer des données, notamment les fournisseurs… dans ce cas les imputations comptables seront proposées en automatique, il suffira juste alors de saisir un montant, une date…